Vous
pouvez les lire sur notre site
Sur ce site, vous trouverez non
seulement les liens pour lire cette presse, mais aussi de multiples échos
postés chaque jour sur la situation dans les hôpitaux, mais également dans les
entreprises où, malgré la pandémie et les risques afférents, le patronat tente
de maintenir la production, alors qu’il n’y a pas pour cette-ci aucune exigence
vitale pour la société.
Dans
les jours qui viennent, à nouveau, nous allons être en mesure à Argenteuil et
dans les alentours de permettre que vous puissiez acheter notre presse-papier
(1,20 euro pour Lutte ouvrière), et 2,5 euros pour la Lutte de Classe. Dès à
présent, il faut passer commande.
Cette
dernière Lutte de Classe vient de paraître avec deux articles concernant la
situation actuelle :
-L’activité
militante communiste au temps du coronavirus ;
-le
coronavirus et la mondialisation.
Résumé
du premier article : L’activité
militante communiste au temps du coronavirus
« Si la pandémie actuelle pose un problème nouveau pour toute la société,
c’est toute l’histoire de l’humanité qui a été jalonnée par des problèmes de ce
type : de la peste au choléra, avec leurs conséquences sur l’économie du
moment. L’humanité était alors réduite à inventer une multitude de causes
surnaturelles et à invoquer dieu et diable. Puis, il y a plus d’un siècle,
Pasteur et Koch ont commencé à mettre en évidence le rôle des microbes et de
leur transmission. La maîtrise scientifique s’est accrue considérablement
depuis.
Mais ce combat, l’humanité le mène dans
le cadre de l’organisation sociale qui est la sienne au moment où l’épidémie
survient. Cette organisation est aujourd’hui celle du capitalisme où la lutte
de classe n’est pas pour autant suspendue durant une telle crise sanitaire. Ses
acteurs capitalistes tentent seulement de la dissimuler davantage.
Ce texte vise à évoquer les tâches que
de telles périodes imposent aux militants communistes révolutionnaires et
l’éclairage qu’ils doivent donner aux travailleurs conscients. Il s’agit de
montrer que ceux qui critiquent la gestion de la crise sans combattre la
domination de classe qui l’inspire en obscurcissent la compréhension.
Si le travailleur conscient doit
participer aux réactions des travailleurs contre la politique gouvernementale,
il doit en même temps éclairer ses sœurs et frères de classe sur les causes
sociales de la situation actuelle. S’il est ainsi nécessaire de s’opposer au
fait que des travailleurs soient envoyés risquer leur santé pour produire des
marchandises non essentielles, il ne faut pas en rester à disséquer ce qui est
nécessaire ou pas, mais à insister sur qui décide de cette nécessité, et donc de
la nécessité du contrôle ouvrier. Il faudra finir par arracher le pouvoir
politique à la bourgeoisie et transformer les rapports de classe de fond en
comble.
Le confinement donne l’occasion de
réfléchir à tout cela, y compris collectivement en utilisant les moyens offerts
par le progrès des communications. Car il faut nous préparer, car une fois de
plus, la classe capitaliste cherchera à faire payer par les exploités les
moyens qu’elle se donnera pour tenter de surmonter la crise… »
Bien
évidemment, le mieux est de lire in extenso l’article.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire