mercredi 12 février 2020

Élections municipales à Argenteuil. Chronique : celui qui se prenait pour un roi


Un jour est-il tombé dans le panneau ?

Quand il passe devant un panneau, il dit « c’est à moi ». Devant un autre, il répète : « c’est à moi ». Et ainsi de suite devant tous les panneaux d’affichage de la Ville. Son espoir est qu’aucune autre affiche d’un quelconque de ses concurrents ne fasse de l’ombre à son portrait en trois exemplaires sur chaque mur de la Ville.
         C’est à moi. C’est à moi. C’est à moi. Je suis le roi, ou, tout du moins, j’espère le redevenir, le roitelet d’Argenteuil !
         Une métaphore de ce qui s’est passé de 2008 à 2014, et de que ce monsieur qui n’aime pas que les autres s’expriment rêve de recommencer après mars 2020.
         Son ami Lamdaoui s’est fait connaître par l’aphorisme « une poignée de main serrée, une voix ». Son concurrent principal lui, c’est plutôt : « un mètre de trottoir, une voix ». Lui, ce ne serait pas « une affiche, une voix » ?
         Tous perdants.
         Pour que nous nous trompions, il y a quelque avoinée à l’encontre de ses colleurs qui s’impose.

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