mercredi 1 janvier 2020

Espérance personnelle et collective : quand le monde du travail redresse la tête


Notre grande espérance pour l’année qui vient…

 


Bien évidemment, à l’orée d’une nouvelle année, l’espérance est grande. Pour soi-même, malgré le temps qui passe, l’espérance qu’elle ne sera pas difficile, que le corps suivra. Cela vaut bien sûr pour ses proches, la maman qui aura 93 ans cette année, la compagne que la retraite enchante, et puis ces cercles de fraternité qui nous entourent, les copains militants, d’Argenteuil, du mardi et d’ailleurs, les Amis-majuscule, et puis les êtres simplement fraternels, aimables, chaleureux qui lorsqu’on les croise écartent le gris du ciel.
         Bien évidemment, en cette nouvelle année, on ne peut qu’envoyer, à l’occasion de ce Nouvel an, un grand salut fraternel aux grévistes. Un tel mouvement n’est jamais facile, la crainte du prix à en payer, les inquiétudes divers… Mais bravo à eux. Un grand salut de fraternité, et l’espérance qu’ils, que nous vaincrons.
         Car l’enjeu concerne toute notre classe, le « clan des travailleurs ». Et déjà, le mouvement actuel a commencé à inverser vraiment les choses, à la suite des Gilets jaunes l’an passé, mais cette fois, au cœur d’entreprises…
         Pour le développement de la mobilisation des travailleurs, il y a encore largement de la marge. A nous de la faire fructifier, dans les jours et les semaines qui viennent.
         Meilleurs vœux 2020 pour vous qui me lirez, à Argenteuil, en France, mais aussi à travers le monde, quand vous croisez mon blog sans frontière !
                                              Dominique MARIETTE
 

 

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