Une partisane de la « paix des cimetières » et le camp des
bourreaux
En Birmanie, à partir d’octobre
2016 puis surtout à partir d’août 2017, les discriminations subies par la
minorité musulmane rohingya ont tourné aux persécutions physiques pures et
simples, allant jusqu’au viol et au meurtre.
Les massacres perpétrés par l’armée birmane et les milices bouddhistes ont fait au moins 10 000 morts. Plus d’un million de Rohingyas ont dû s’enfuir du pays, dont 750 000 se sont réfugiés au Bangladesh, qui ne veut pas non plus les accueillir.
Selon, entre autres, des enquêteurs de l’ONU, il s’agit d’un génocide qui se perpétue.
Devant la Cour internationale de justice, l’actuelle première ministre Aung San Suu Kyi a nié toute « intention génocidaire » de la part des généraux au pouvoir. La Prix Nobel de la Paix 1991 a opté pour la "paix des cimetières" et le camp des bourreaux.
Les massacres perpétrés par l’armée birmane et les milices bouddhistes ont fait au moins 10 000 morts. Plus d’un million de Rohingyas ont dû s’enfuir du pays, dont 750 000 se sont réfugiés au Bangladesh, qui ne veut pas non plus les accueillir.
Selon, entre autres, des enquêteurs de l’ONU, il s’agit d’un génocide qui se perpétue.
Devant la Cour internationale de justice, l’actuelle première ministre Aung San Suu Kyi a nié toute « intention génocidaire » de la part des généraux au pouvoir. La Prix Nobel de la Paix 1991 a opté pour la "paix des cimetières" et le camp des bourreaux.
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