jeudi 5 décembre 2019

Argenteuil, le camp des travailleurs, le faire entendre, notre unique préoccupation


A l’échelle locale comme à l’échelle du pays



Lutte ouvrière présentera une liste « Lutte ouvrière – faire entendre le camp des travailleurs » lors des prochaines élections municipales à Argenteuil. Nous nous adresserons au monde du travail local pour lui dire que l’appauvrissement de la population, la baisse des revenus réels, la dégradation partout des conditions de travail, le recul des services nécessaires à la population que tout cela n’a rien d’inéluctable. Et ce qui est vrai à l’échelle locale l’est encore davantage à l’échelle du pays, comme la journée d’aujourd’hui va le prouver.
Les jours qui viennent vont montrer de quelle façon éloquente le monde du travail peut se faire entendre. DM



Argenteuil, le monde du travail dit : « vive la grève » !

Ces derniers jours, ces dernières heures, nous sommes allés avec nos moyens militants à la rencontre de la population, des habitants qui appartiennent dans leur quasi-totalité au monde du travail. Nous pouvons dire qu’avec notre tract Lutte ouvrière intitulé « Le 5 décembre et après, tous en grève, tous en manifestation ! », nous avons eu un excellent accueil. Les travailleurs partagent le constat qu’il y en a assez, que l’offensive du grand patronat contre le monde ouvrier doit cesser, et que ceux qui seront en grève dans les jours qui viennent, et qui manifesteront, porteront les espoirs de tous.

         Certains souhaitent que soit organisée aussi une manifestation sur Argenteuil, ce qui leur permettrait d’y participer, à la différence de celle de Paris qu’il n’était pas facile de rejoindre. DM



Lutte de classe dans l’équipe de France 2

Lors d’une activité militante hier à l’entrée du parc de l’Hôtel de ville, une équipe de France 2 était présente… sauf qu’elle n’y était pas pour moi, militant de Lutte ouvrière, mais pour l’ancien maire d’Argenteuil. Rien d’étonnant, et pour l’égalité de traitement entre les candidats, on repassera. Nous avons tout de même pu échanger sur la grève, et je leur ai rappelé ce qui se passait à Radio France. A mon évocation de la journée d’aujourd’hui, je leur ai exprimé mon espérance qu’ils en soient. Si le journalisme n’a rien dit, un des techniciens a tenu, lui, à montrer qu’il en serait, et avec le sourire. DM

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