Jackpot… mais pour les financiers
Après la privatisation de la
Française des Jeux, le premier jour de cotation a vu l’action grimper de 14 à
22%. Le gouvernement nous présente ça comme un grand succès de l’actionnariat
populaire. Mais à la bourse, l’euphorie finit toujours en gueule de bois pour
les petits porteurs quand les cours baissent.
En
revanche les grands gagnants sont les financiers qui vont mettre la main sur
cette entreprise qui n’a quasiment pas de dépenses puisqu’elle ne fabrique que
de l’illusion. Ou revendre leur paquet d’actions plus cher qu’ils l’ont acheté,
dans une opération spéculative dont ils sont coutumiers. A tous les coups, ils
gagnent !
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