Un peuple kurde otage des grandes puissances
Pendant qu’en Syrie l’armée
turque massacre les Kurdes avec l’aval des États-Unis, Macron et Angela Merkel
jouent les indignés.
Paris et
Berlin disent suspendre leurs ventes d’armes à la Turquie. Mais pas les commandes
déjà passées : elles continueront d’être livrées et les Kurdes d’être
tués.
Depuis un
siècle, le peuple kurde est l’otage de la politique des grandes puissances, qui
ne lui font des promesses que quand cela peut servir les intérêts de leurs
groupes industriels, pétroliers et financiers, pour les oublier aussitôt après.

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