Vive la lutte des cheminots
La direction de la SNCF et le
gouvernement ont mis toute la pression possible sur les cheminots pendant deux
jours pour essayer de leur faire reprendre le travail.
Le
premier ministre a parlé de « détournement du droit de retrait
transformé en grève sauvage », alors que l’accident qui a mis le feu
aux poudres montre à l’évidence les dangers quotidiens que la politique de
réduction des personnels de la SNCF fait courir aux voyageurs comme aux
cheminots.
Philippe
a incité la direction de la SNCF à sanctionner les cheminots en lutte et à les
poursuivre en justice. Comme si la direction de la SNCF avait besoin d’un tel
encouragement pour envisager des mesures répressives ! Des menaces qui
sonnent comme une provocation vis-à-vis de travailleurs qui ne font que
défendre leur sécurité comme celle de tous les voyageurs.
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