Contre les lois rétrogrades, les femmes ne peuvent compter que sur
leurs luttes
Manifestation
pour les droits des femmes au Maroc en 2011
Au Maroc, une journaliste Hajar
Raissouni et son fiancé ont été condamnés à un an de prison ferme pour «
avortement illégal » et « relations sexuelles hors mariage ». Le gynécologue de
la jeune femme a été condamné à deux ans de prison ferme.
L’Etat
marocain est coutumier de ce genre de condamnation. En 2018, 73 personnes ont
été poursuivies pour avortement, 170 pour homosexualité, plus de 3 000 pour
adultère et plus de 14 000 pour relations sexuelles hors mariage.
Comme
partout dans le monde, au Maroc, les femmes ne pourront compter que sur leurs
luttes pour combattre les lois rétrogrades.
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