Il y aurait-il du pépin dans l’air pour elle ?
Certes, même si c’était en ce
début d’octobre un temps de saison, les conditions climatiques n’ont pas été
aux abords de la vigne municipale rue de Mainville si effroyables que cela. Il
n’a pas plu en continuité, comme nous avons personnellement pu le
constater le matin et l’après-midi. Et pourtant, il n’y a pas eu foule pour
déguster le jus de raisin nouveau.
Bien
évidemment, pour les agents municipaux qui ont participé à cette fête, comme
pour les bénévoles et les commerçants qui étaient présents et pour qui, cela a
demandé énergie et travail, c’est regrettable.
Donc,
la municipalité pourra justifier la faiblesse de la participation des habitants
par le mauvais temps. Mais on image qu’elle doit à cinq mois et demi des
prochaines élections municipales creuser sérieusement l’affaire, car il y a de
sérieuses raisons de s’inquiéter pour elle.
La
municipalité d’Argenteuil partage avec un milieu d’habitants et d’électeurs
d’Argenteuil des convictions de droite, et d’une façon que l’on peut imaginer
très contrastée. Mais ce n’est pas parce que l’on a de telles convictions plus
ou moins affirmées et plus ou moins partagées, que l’on apprécie en tout et partout l’action municipale de la municipalité actuelle d’Argenteuil Les
Républicains.
Il
y a l’affaire toujours en suspens du Lidl d’Orgemont où elle a pris à
rebrousse-poil nombre de ses proches. Il y a également, et même davantage,
l’affaire Cap Héloïse.
La
municipalité a pris à la légère les résultats du travail du Comité Jean Vilar
qui, principalement à l’automne 2017, a été à la rencontre des Argenteuillais,
travail pour lequel j’ai pris toute ma part. Ce qui nous a frappé alors,
au-delà de la facilité à faire s’engager les habitants en signant le texte de
la pétition de refus proposée, ce fut de rencontrer des habitants naguère
proches de la municipalité de Georges Mothron manifester leur profond désaccord
avec lui et avec son prédécesseur sur ce projet « Cap Héloïse » et la
liquidation programmée de la salle des fêtes Jean Vilar propriété
communale !
Eh
bien, nous pensons qu’il y a un rapport étroit entre ce constat et l’échec
(relatif mais réel tout de même) de la fête des Vendanges, une fête connotée
très municipalité actuelle. DM
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