Que d’indulgence pour les corps de
répression
En février dernier, un couple
avait été tué dans un accident de voiture provoqué par un gendarme ivre. Le
passager, gendarme lui aussi, a été promu au grade de lieutenant, alors qu'il
aurait accompagné son collègue dans sa consommation d'alcool, poussant
l'alcoolémie jusqu'à 2,54 g et jouant ensuite au pilote avec une voiture
puissante.
La
famille des victimes est évidemment indignée, autant par la promotion que par
la mansuétude de la hiérarchie.
L'État
est plein de compréhension pour les petits travers de ses forces de répression.
Il a trop besoin d'elles pour jouer de la matraque.
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