Évoquer tel ou tel manque de concertation, mais pour En marche, même cela, pas
tous
Lorsque le représentant d’En
marche à Argenteuil s’est entretenu dernièrement avec Le Parisien-95 à propos des prochaines élections, il a illustré la
question de la « démocratie participative » et de la nécessité de la
concertation, en évoquant l’affaire Lidl de la butte d’Orgemont. Effectivement,
belle illustration courante des pratiques habituelles en la matière :
décider seul ou en petit comité, puis mettre la population concernée devant le
fait accompli.
Le
monsieur d’En marche a eu raison d’évoquer cette affaire à l’occasion de
laquelle, la municipalité d’Argenteuil s’est quelque peu ridiculisée et a été
obligée de faire machine arrière.
Mais
parmi d’autres de moindre importance, il y a tout de même, dans le même genre
une affaire locale qui, même encore plus que celle du Lidl, a entraîné le rejet
de l’énorme majorité de la population : l’affaire Jean-Vilar-Héloïse marquée
par le règne du secret et par un manque total de concertation préalable !
Bref, ce monsieur d’En marche pourrait tout autant nous dire ce qu’il en pense.
Il
y a deux ans ( !), juste après son élection, la députée locale d’En marche
avait été interrogée pour donner son avis sur cette affaire Héloïse. Depuis
aucune nouvelle. Elle disait alors n’avoir pas eu le temps d’étudier le
dossier. Elle n’a pas eu amplement depuis ni le temps de le faire ni de s’imprégner
des bonnes leçons de son collègue sur la « démocratie participative » ?
DM
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