Carrefour veut positiver encore plus ses
profits
Après Auchan, c’est Carrefour qui
confirme une saignée des emplois. S’appuyant sur la réforme du code du travail
entré en vigueur en 2018, son PDG, Bompard, entend imposer le départ de 3000
salariés par la procédure de rupture conventionnelle collective. C’est un
chiffre double de celui circulant jusque-là. Une nouvelle étape dans la guerre
contre les travailleurs du groupe lancé notamment par le plan « Carrefour
2022 » approuvé par son conseil d’administration où siégeait un certain
Bernard Arnault, un des principaux actionnaires du groupe, et où siégera
désormais son fils. Donateurs généreux pour Notre Dame un jour, licencieurs
toujours.
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