dimanche 21 avril 2019

Argenteuil d’hier et d’aujourd’hui : la marque pérenne de paysages conservés


Des paysages à défendre coûte que coûte

 


Répondant à un contributeur de l’enquête publique sur « L’île Héloïse » pour qui « Depuis longtemps, les paysages chers à Monet ont été anéantis par un urbanisme sauvage… », le  conseiller municipal d’opposition Frédéric Lefebvre-Naré évoque « Une étudiante en fin d’études d’architecture(qui) a consacré son mémoire de fin d’études à ces mêmes paysages (les paysages d’Argenteuil illustrés par les peintres impressionnistes. DM), il y a quelques mois, elle découvrait Argenteuil à cette occasion, attirée par les tableaux de Monet ; et elle conclut exactement l’inverse : « le travail de collecte de peintures impressionnistes et la confrontation avec le paysage actuel m’a permis d’y voir un potentiel incroyable oublié par les habitants. Ces peintures m’ont donné envie de rendre à Argenteuil la grandeur des paysages peints par les impressionnistes, des berges de Seine. De retourner la ville vers le fleuve, mettre en valeur ce paysage, introduire en ville des éléments de nature, l’eau, les berges de fleuve jardinées ; de retrouver les fonctions anciennes des centres bourgs, d’échanges et d’animation, en donnant de la place à chacune des envies des usagers. Dans de nombreuses villes, la tendance est de renouer le lien avec les fleuves. Ces aménagements sont souvent à l’origine du développement de la ville et participent de son identité. »
         Nous sommes totalement d’accord avec les conclusions de cette étudiante. Elles sont à la base de nos raisonnements pour la sauvegarde de l’Île Héloïse. Elles confirment que conserver ces paysages est une priorité pour la diffusion d’une image positive d’Argenteuil. DM

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