lundi 4 février 2019

Le capitalisme, ce grand animal malade


La soif de profits n’a pas de frontières



À propos de l'affaire des viandes d'animaux malades de Pologne, des commentateurs ont déclaré que si l'on mangeait des produits français cela ne se produirait pas. Ah bon ? Et les lasagnes au cheval de Spanghero ou les poudres Lactalis, ce n'étaient pas des produits français ?
En réalité, que l'on soit un « petit » fraudeur ou un gros capitaliste, la même soif du profit fait négliger Ia santé. C'est ça, la maladie du capitalisme.

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