La soif de profits n’a pas de frontières
À propos de l'affaire des viandes
d'animaux malades de Pologne, des commentateurs ont déclaré que si l'on
mangeait des produits français cela ne se produirait pas. Ah bon ? Et les
lasagnes au cheval de Spanghero ou les poudres Lactalis, ce n'étaient pas des
produits français ?
En
réalité, que l'on soit un « petit » fraudeur ou un gros capitaliste,
la même soif du profit fait négliger Ia santé. C'est ça, la maladie du
capitalisme.
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