Le premier ministre a déclaré que
le grand débat devait non pas « remplacer le projet présidentiel »
mais le « compléter ». En clair : c'est avouer qu'il ne s'agit
que d'une manœuvre.
De nombreux
Gilets jaunes et travailleurs l'avaient compris. D'ailleurs le gouvernement
avait d'emblée encadré ce débat.
Mais le
vrai débat, il faudra l'imposer sur les questions essentielles et vitales qui
préoccupent le monde ouvrier. Et pas seulement le limiter à des bavardages et à
des parlottes en chambre.
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