C’est le capitalisme qu’il faut combattre
AMLO
(Eneas de Troya/wikicommons)
Depuis le 1er décembre, le
Mexique a officiellement un nouveau président, Andres Manuel Lopez Obrador, dit
AMLO. Ce « nationaliste de gauche » a beaucoup promis aux classes populaires
et en particulier de lutter contre la corruption, contre les narco-trafiquants
et contre la grande pauvreté...
Mais s'il
dénonce « les ravages du néo-libéralisme » et pas ceux du
capitalisme, ce n'est pas innocent. AMLO prétend améliorer la vie du plus grand
nombre sans toucher aux intérêts des riches, sans effrayer ni l'impérialisme
américain, ni les marchés financiers.
Ce ne
sont donc que des promesses vides. AMLO, comme d'autres « nationalistes de
gauche » demandera aux travailleurs de se serrer la ceinture et de
continuer à souffrir en silence, au nom des intérêts supérieurs de la nation.
C'est à cela que les travailleurs et les classes populaires mexicaines doivent
se préparer pour ne pas être les sacrifiés.
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