Une poignée pour marquer notre fraternité
Nous nous sommes retrouvés une
dizaine lors de l’inhumation de l’homme mort il y a quelques semaines, la nuit,
devant les Bains-douches, rue de Calais.
Il
n’aura pas été facile à Elise Languin pour connaître l’heure de cette
inhumation.
Aucun
représentant de la municipalité.
Et
ce quartier des « indigents » comme pour démontrer que la solitude
des rejetés de la société devait continuer par-delà la mort.
A
contrario, de la part de notre petit groupe, un signe de fraternité envers cet
homme.
Un
geste pour démontrer que seul, on ne l’aura pas été jusqu’au bout, dans ce
quartier des « indigents » du cimetière du Chemin vert du Val. DM
1 commentaires:
Merci pour lui.
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