En revanche, le genre de remarque qui n'a pas lieu d'être
Nous n’avons pas pu assister mardi dernier au conseil municipal. Comme d’habitude, nous pouvons encore nous appuyer sur le compte-rendu du site « engagés pour Argenteuil » :
http://engagespourargenteuil.fr/
Lors de
la discussion sur le point 2concernant l’avenir de l’occupation de feu le musée
d’Argenteuil, Marie-José Cayzac est intervenue pour dénoncer le «
fait accompli » que représente cette affaire, mise en route depuis
des mois en catimini, etc.
Le compte-rendu d’« engagés pour
Argenteuil » note alors : « Georges Mothron se
prépare à donner la parole à Franck Debeaud « en espérant que ce soit moins minable que ce qu'on vient d'entendre ».
C’est
certes une habitude du maire d’Argenteuil, en particulier à l’égard de
Marie-José Cayzac, une femme, d’utiliser publiquement ce genre de formule
totalement déplacée.
Nous
avons cherché dans le Larousse, la définition de « minable ». Nous
avons trouvé : « Qui est
laid, médiocre, insuffisant, mauvais ; d'une pauvreté, d'une médiocrité
pitoyable : Toucher un salaire minable. »
Georges
Mothron peut-être en désaccord avec quiconque, mais ce que qu’a exprimé Mme
Cayzac, dont nous partageons une large partie de son point de vue, n’était ni
laid, ni médiocre, ni insuffisant, ni mauvais, ni pauvre, ni pitoyable !
A
la différence des paroles totalement incongrues et insultantes du premier édile
de la Ville qui devrait tout de même donner l’exemple de l’aménité et du
respect de tous.
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