Cela presse que le projet soit abandonné
Lors du forum de samedi, nous
avons appris une chose très intéressante. Un travailleur retraité de la
Snecma, cette entreprise sise à 300 mètres de Jean Vilar sur l’autre rive de la
Seine, nous a indiqué que la raison essentielle des vibrations souvent ressenties
dans les salles Pierre Dux et Jean Vilar étaient dues à l’utilisation de la
presse de 80 000 tonnes de la Snecma-Gennevilliers, la plus importante presse en
l’Europe, paraît-il. Nous le croyons volontiers.
Voilà
un argument supplémentaire pour l’abandon du projet dit « Héloïse ». Un
argument qui s’ajoute aux centaines d’autres. Les 43 mètres prévus de
l’ensemble projeté posent déjà de multiples problèmes. Si en plus, ils sont
sensibles aux coups de boutoir, cet abandon doit être acté de manière
pressante.
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