mardi 11 septembre 2018

Argenteuil, Snecma-Safran, défense de Jean Vilar


Cela presse que le projet soit abandonné

 
Une 50 000 tonnes, chez Alcoa, 1985 (Wikipédia)

Lors du forum de samedi, nous avons appris une chose très intéressante. Un travailleur retraité de la Snecma, cette entreprise sise à 300 mètres de Jean Vilar sur l’autre rive de la Seine, nous a indiqué que la raison essentielle des vibrations souvent ressenties dans les salles Pierre Dux et Jean Vilar étaient dues à l’utilisation de la presse de 80 000 tonnes de la Snecma-Gennevilliers, la plus importante presse en l’Europe, paraît-il. Nous le croyons volontiers.
         Voilà un argument supplémentaire pour l’abandon du projet dit « Héloïse ». Un argument qui s’ajoute aux centaines d’autres. Les 43 mètres prévus de l’ensemble projeté posent déjà de multiples problèmes. Si en plus, ils sont sensibles aux coups de boutoir, cet abandon doit être acté de manière pressante.

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