La seule voie
Samedi 31 mars, c'était la grève
chez Carrefour, dans 22 dépôts sur 24 et dans une grande majorité de
supermarchés. Les travailleurs en ont assez ; assez des 2 000 suppressions
d'emplois annoncées début 2018, qui seront peut-être 5 200 ; assez du mépris
d'une direction qui a fait passer la prime d'intéressement de 310 € en 2017 à
57 € cette année ; et assez des salaires bloqués, alors que les actionnaires
vont se partager 356 millions d'euros en dividendes.
Face à l'arrogance
des patrons de Carrefour, les travailleurs veulent se faire entendre. Avec
cette grève ils « positivent » !
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