Un monde capitaliste sans… pitié
Ce terme nous avait échappé, mais
voilà que les gestionnaires pédants de la société capitaliste popularisent
depuis peu sous le terme de « sans-abrisme », le fait d’être, vous
l’aurez compris, sans domicile fixe. Il aurait été traduit récemment du terme
anglais correspondant, « homelessness ».
On
imagine tous ces messieurs gloser sur le sujet à qui mieux-mieux.
Comme
si la richesse de la société n’offrait pas la possibilité à toute la population
de se loger correctement. Il est vrai que pour cela, il faudrait liquider le
capitalisme, un objectif totalement étranger à ces gens-là.
C’est
la société capitaliste qui génère le mal-logement ou l’absence du tout de
logement. C’est sa fin qui y mettra un terme.
1 commentaires:
Le plus important n’est pas le vocabulaire bien sûr, mais les mots ont leur importance. Aussi je préfère utiliser le terme de « sans domicile stable » qui correspond davantage à la réalité subie par trop de personnes.
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