Des solutions provisoires idoines existent
Dans notre article sur les suites
à donner au mouvement des acteurs scolaires d’Argenteuil et de Bezons qui a eu
lieu le 6 février, nous écrivions : « Il faut que la municipalité
engage immédiatement la construction des groupes scolaires manquants. Elle doit
en attendant, modifier la carte scolaire de toute urgence pour soulager les
écoles qui craquent, même si nous savons que ce n’est là qu’un pis-aller. Elle
doit trouver des locaux pour y installer provisoirement des classes. Elle doit
opérer un plan massif de recrutement d’ATSEM et d’ASEL… »
Oui,
la construction des groupes scolaires manquant devrait au moins être discutée
lors du prochain conseil municipal et que des engagements y soient pris.
Nous
disons donc qu’il faut qu’elle trouve « des locaux pour y installer
provisoirement des classes ». Nous avons déjà deux possibilités en
tête : la première, qu’elle récupère l’espace alloué à une structure
scolaire privée et contestable dite « Ecole Charlemagne » rue d’Ascq.
La seconde qu’elle utilise et aménage le bâtiment de l’ancienne Bourse du
travail de l’avenue Jean Jaurès dont la structure a déjà été rénovée.
Ces
deux lieux ont le mérite d’être dans un des espaces d’Argenteuil où le manque
d’écoles primaires est le plus criant, le quartier du Val-Notre-Dame.
L’ancienne Bourse du travail est même à deux pas de l’école Ambroise Thomas qui
n’en peut plus.
Ce
Vendredi 16 février
Cercle
Léon Trotsky
Brésil :
des révoltes d’esclaves aux luttes du prolétariat
à 20h30
Palais de
la Mutualité
24, rue
Saint-Victor – Paris 5e
Métro :
Maubert-Mutualité
Participation
aux frais : 3 €
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