Calais toujours aussi invivable pour les
migrants
D’après le Défenseur des
droits, plusieurs mois après le démantèlement de la « jungle » de Calais, entre
500 et 600 migrants, dont des mineurs, y dormiraient à même le sol. Victimes
d’une traque permanente dans les sous-bois de la ville, ils n’auraient droit
qu’à un seul repas par jour, la préfecture n’autorisant qu’une seule
distribution quotidienne de nourriture de la part des associations.
De
Hollande à Macron, les gouvernements font preuve de la même inhumanité.
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