Funambule
Le député PS d’Argenteuil-Bezons est
confronté actuellement à un difficile exercice d’équilibriste. Pour espérer
être réélu, il ne doit pas se fâcher avec les partisans locaux de Hamon, ses
copains du PS, et pour espérer ne pas être oublié si Macron est élu, il ne doit
pas apparaître s’opposer à ce dernier. Comme la vie du politicien est
difficile, confronté à de tels choix cornéliens !
En
attendant, il n’a pas encore donné son parrainage, ni à l’un ni à l’autre.
C’était
tellement plus facile pour lui, quand les uns et les autres au gouvernement,
main dans la main, étaient attentifs aux désidérata du patronat, favorables à
la déchéance de la nationalité, à l’état d’urgence, et à la Loi travail !
Le clown auguste
C’est à un feuilleton assez
cocasse auquel on assiste avec le dénommé Régis, l’ancien suppléant du candidat
G. Mothron, rallié dernièrement à P. Doucet.
Il
s’affirmait candidat aux élections présidentielles et disait avoir déjà
recueilli 750 promesses pour y parvenir.
Est-ce
un problème de courrier, mais voilà qu’aux dernières nouvelles, le blagueur
n’en disposerait que de… deux.
Finalement,
peut-être que P. Doucet, pris entre deux feux, pour ne pas avoir à choisir
entre Hamon et Macron va lui donner le sien.
C’est
vrai, avec trois, le baratineur n’ira pas loin…
Fera-t-il rire les petits enfants ?... Pas sûr !
Fera-t-il rire les petits enfants ?... Pas sûr !
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