dimanche 4 septembre 2016

Argenteuil, AB-Habitat, "bailleur social" qui n'empêche pas des actes de "mépris social"



Pas besoin de compteur pour mesurer un tel « mépris social » !

Une fois n’est pas coutume, je vais aborder un problème général sur la base d’une situation personnelle me concernant.
         La question de la surestimation de la consommation d’eau, froide et chaude, dans la cité Joliot-Curie pour ceux qui l’ont subie est en passe d’être réglée, si nous en jugeons toutefois à notre situation toute personnelle.
         Pour résumer. Il y a un certain temps, les dirigeants d’AB-Habitat ont décidé de changer les compteurs à relevage manuel pour des compteurs de télé-relevage qui ne nécessitent pas l’intervention d’un travailleur. Malheur aux locataires qui ont échappé, par inadvertance ou manque d’information, à ce remplacement. Les nantis de la direction d’AB-Habitat n’ont pas trouvé d’autre système pour résoudre le problème, que d’utiliser la méthode imparable, selon ces gens-là, pour faire sortir le «populaire » imprévoyant de son trou que d’effectuer une surestimation punition majeure. Je ne prendrai que l’exemple de ma modeste situation pour illustrer ce qui est arrivé à bien des locataires de la cité.
         Début mars de cette année, je recevais donc un avis m’informant qu’au vu de la surestimation qui m’était -à la lourde louche- imposée, je devais plus de 800 euros, qui me seraient prélevés avec mon loyer les trois mois suivant. Il aura fallu que j’attende ce 1er septembre pour savoir que non seulement ce plus de 800 euros de trop-payé me serait remboursé au 1er octobre prochain, mais qu’au final, au vu de ma consommation réelle, ce trop perçu s’élevait à plus de 1480 euros !
         D’accord, l’enseignant-retraité que je suis a pu faire face, mais imaginons le poids qu’un tel procédé, pour rester poli, a pu représenter pour des locataires aux revenus bien inférieurs au moins. DM



Voir également deux articles du jour dans « articles plus anciens » :
-migrants, la situation désastreuse de nos frères de classe ;
-quand Sarkozy fiche…

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