mercredi 25 mai 2016

Le cinéma à Argenteuil : un film bien triste


L’incompréhension totale

 
Les responsables des associations concernées par les deux films déprogrammés (j’appartiens à l’une d’entre elles, l’ADCI), viennent de recevoir la réponse du maire d’Argenteuil à la lettre qu’ils avaient envoyée à la fin de la semaine passée pour sortir de l’imbroglio « déprogrammation-reprogrammation-déprogrammation ». G. Mothron y confirme sa décision de déprogrammer.
         Pour justifier celle-ci, son argumentation est la suivante, je cite un extrait de cette lettre dont j'ai reçu copie en tant que membre de l'association et responsable politique : « Nous avons, je crois, travaillé ensemble un terrain d’entente qui semblait être équilibré, où chacun s’engageait à respecter sa promesse… Or j’ai découvert que vos promesses d’apaisement n’avaient pas été respectées lorsque je lis le contenu de nos échanges sur le blog du Maire de Bezons… ».
         Pour notre part, nous ne comprenons pas cette raison. A ce que nous sachions, le maire de Bezons ne fait pas partie de ces associations, et encore moins de ses instances. L’information sur un accord entre le maire d'Argenteuil et celles-ci ayant légitimement circulée, chacun pouvait en donner l’interprétation qu’il voulait, qu'elle soit juste ou pas, c'est cela la démocratie. En tout cas, du côté des associations concernées et de ses membres, nous avons pu constater que leur volonté d’apaisement était une évidence, suite à cet accord de reprogrammation. Il s’agissait dorénavant pour eux et pour leurs membres de tourner la page.
         Nous voilà revenus en arrière. Quel dommage et quels dommages, dans une affaire qui ne peut que laisser de nombreuses traces pour tous. D. MARIETTE

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