Coup de froid sur un commerce utile
Le marchand de glaces et de crêpes de
l’avenue Gabriel Péri à Argenteuil fermera définitivement à la fin de la semaine
après trois ans d’activité. Un autre magasin proche, ouvert en même temps, de
prêt-à-porter, qui n’a été ouvert que durant une toute petite période, est
toujours en déshérence, à vingt mètres du premier sur le même trottoir.
Le
maire précédent avait, à sa manière sans doute, aidé à l’installation d’un
certain nombre de commerces sur cette avenue. Pourquoi faut-il qu’ils aient
tant de mal à survivre ?
Concurrence
des grands centres commerciaux, en tout cas pour certains ?
Evitement
d’une fraction de la population de la commune qui, parfois, ne connaît
même pas l’existence de tels commerces, et qui rejoint rarement le centre de la
commune ?
Ostracisme
d’un camp politicien à l’encontre de ce qui a été mis en place avec l’aide de
l’autre ?
Montée
indéniable de la pauvreté qui fait que l’on supprime toute dépense
superflue ?
Il
y a plusieurs de ces raisons dans le cas de ce glacier qui nous occupe. Une
fermeture, dans tous les cas, extrêmement dommageable pour tous, car un lieu de
pause, de sociabilité, et de rencontre en moins sur Argenteuil où ils sont rares.
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