Quand on peut, on peut, quand on ne
peut plus, on ne peut plus
« On est désespéré », « 40
heures ce n’est pas possible », « on n’en peut plus », « des
pions », « c’est le marathon », « c’est l’enfer », « on
est dans la souffrance », « le corps ne suit pas », « je ne
l’ai jamais vécu comme cela depuis 20 ans », « c’est de la souffrance »,
« c’est notre vie qui est en jeu ».
Voilà
ce que ressentent les personnels des Ecoles de la Ville, ATSEMS, ASEL et
personnel d’animation, au terme de nouveaux horaires mis en place par la
municipalité d’Argenteuil : 40 heures 35 par semaine, situation à laquelle
il faut ajouter le manque de personnel, les personnels non-remplacés, la
maladie,…
C’est
catastrophique pour les agents qui déclarent être autant fatigués après ce
premier demi-trimestre qu’au terme d’une année complète. C’est désastreux pour
les enfants, et pour leur sécurité.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire