Une question de maux qui inquiète
Dans la liste à la Prévert des
« Projets et perspectives » de la municipalité, on trouve dans
l’alinéa « social » : « Maison des femmes : transfert
au sein du centre de santé Fernand Goulène ».
Ce
n’est pas ce que l’adjoint aux affaires sociales déclarait au Collectif alors
que paraissait le Canard municipal. Il évoquait, pour la future Maison Des Femmes,
le projet municipal d’utiliser des locaux non loin de la salle Ambroise
Croizat, dans la cour, « derrière » le centre de santé Fernand
Goulène.
« Derrière »
et non pas « au sein ». Une simple nuance ? Certainement pas.
Alors,
ou bien le Canard est vraiment vilain et se moque du monde comme d’une palme,
ou bien ce que l’on trouve dans l’Argenteuillais exprime la pensée, ou la
pensée subliminale de la municipalité.
La
Maison Des Femmes dont celles-ci ont besoin n’est pas une maison pour les
femmes malades. Et même pas seulement pour les femmes « victimes »
comme le Collectif l’a répété à l’Adjoint-au-maire.
Pour
la Maison Des Femmes, le transfert de la rue Pierre-Joly est une nécessité
urgente. La perspective de son installation rue Defresne-Bast posait déjà bien
des interrogations. Son évocation dans l’Argenteuillais dans les termes que
nous venons de rapporter renforce les inquiétudes de tous ceux qui veulent le
rétablissement d’une « Vraie Maison Des Femmes ».
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