« Maison des femmes » et lunettes municipales déformantes
La livraison du journal municipal
de cette semaine l’Argenteuillais revient sur la « Maison des femmes »,
Maison des femmes dont la version initiale, installée rue du 8 mai d’une façon
nécessaire et légitime avec les moyens de la collectivité, a été liquidée cet
automne. Cette liquidation représente un énorme gâchis.
L’article
de l’Argenteuillais pourrait être à l’avenir étudié comme un exemple-type du
genre, où l’esquive s’y donne à cœur joie. Loin du sombre tableau de la
réalité, sa lecture nous conduit au pays des bisounours.
Le
titre : « Maison des femmes : reconfiguration ».
Reconfiguration ! Comme le terme est joli pour une situation aujourd’hui
intenable : des locaux insuffisants, un personnel en nombre insuffisant,
un lieu totalement inadapté pour non seulement aider à la confidentialité mais pour
l’accueil amical de personnes qui ont particulièrement besoin d’aide.
Le
reste de l’article est à l’avenant pour parler d’une reconfiguration qui dans
les faits a « défiguré » un projet qui devrait être dans les
circonstances actuelles d’une nécessité
primordiale.
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