Des
dizaines de milliards offerts au patronat qui manquent aux collectivités
locales
Sannois connaît
aussi des difficultés financières, comme bien d’autres communes du département
et d’ailleurs, et bien au-delà de la carte des communes les plus pauvres.
On ne peut pas à la fois diminuer leur
financement et augmenter dans le même temps les charges qu’elles ont à assurer,
telles celles liées dernièrement aux rythmes scolaires, sans que cette
situation ait des conséquences financières désastreuses. D’autant qu’elles sont
entre les mains des banques qui imposent leurs conditions.
La personnalité des maires peut
aggraver ou pas cette situation. D’autant que personne n’est en mesure aujourd’hui,
mois après mois, de contrôler des dépenses prises dans un cercle très
restreint, et connues de peu de personnes, y compris des autres élus. Et seul
un contrôle au plus près de la population pourrait mettre sur la place publique
des dépenses inappropriées et les contrer.
Mais, sauf exceptions, les écarts dus à des maires se produisent à la
marge. Et ce n’est pas une question de PS ou d’UMP. La preuve par Argenteuil et
Sannois.
C’est à n’en pas douter ce que G. Mothron doit évoquer lorsqu’il rencontre
son compagnon de parti de l’UMP, l’ex-maire de Sannois qui reste encore un
cacique départemental de cette même UMP.
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