dimanche 21 septembre 2014

Argenteuil, Bezons, nouvelles




Nouvelles de la « désorganisation » scolaire locale

Pas de don d’ubiquité
Lorsque des parents ont des enfants à la fois à la maternelle et à l’école primaire, dans les premiers niveaux en particulier où cela est nécessaire d’aller les rechercher, c’est compliqué de le faire.
         S’ils sortent à la même heure, et qu’il n’y a qu’un parent pour les réceptionner, ils vont privilégier la sortie de la maternelle. Mais pendant ce temps, les enseignants du primaire doivent attendre les parents. L’inverse est également possible, avec les mêmes désagréments.

Pour assurer une école de qualité
La situation au niveau du personnel Atsem est catastrophique dans les écoles maternelles. On est très loin de la situation normale : un agent aux côté d’un enseignant dans chaque classe.
         Agents non nommés, remplacement de « départs à la retraite » non prévu et d’agents malades non assurés.
         Mercredi, un premier rassemblement de protestation a eu lieu. Celle-ci doit s’amplifier. Pour exiger en particulier le rappel des agents dont le contrat n’a pas été renouvelé.

Pour la municipalité, une poussière de préoccupation ?
Avec les nouveaux horaires des personnels Atsem, celles-ci ne peuvent plus effectuer l’entretien des locaux dans les meilleures conditions.
         Pas fameux pour l’hygiène des élèves.

Ils licencient, mais ils dépensent, dernières nouvelles

Des véhicules d’aujourd’hui sans rapport avec le patrimoine

L’ouverture d’un certain nombre de sites « patrimoniaux » permet depuis hier (et jusqu’à aujourd’hui 18 heures) la visite de sites historiques et autres initiatives locaux.
         On peut regretter que l’information ait été limitée et que ces sites ne soient pas ouverts un jour de plus pour que les élèves avec leurs enseignants puissent en profiter.
         Des navettes ont été mises en place pour se rendre, de site en site. Mais pourquoi des minibus très luxueux ? Il n’y pas par ailleurs, de ces véhicules dans les services municipaux, ou que l’on aurait pu emprunter à des organismes-sœurs ?

Combien ça coûte ?

On apprend que le magazine de septembre du conseil général du Val d’Oise distribué aux habitants du département a été jeté à la décharge. Cela représente tout de même 370 000 exemplaires, puisque 130 000 exemplaires de ce numéro avaient déjà été distribués.
         Tout cela à cause de la date des prochaines élections cantonales qui viennent d’être avancées, anticipation dont ces messieurs ont eu vent avant l’annonce officielle, mais qui rendait caduque ce qu’ils en disaient dans le numéro de leur magazine.
         Oui, c’est compliqué, mais ce qui ne l’est pas, c’est la dépense inutile que ce pilonnage représente. Et l’on se demande bien pourquoi ? Car s’il ne s’agissait que d’une erreur d’information, elle aurait pu être modifiée dans le numéro suivant ?
         Sur ce gâchis patent de dépense publique, M. Mothron, Péricat et Métézeau,  soi-disant pourfendeurs de gâchis et conseillers généraux de leur état, ne manqueront pas de donner leur avis !



Un stand de Lutte Ouvrière dans la rue Edouard Vaillant aujourd’hui, à Bezons, à l’occasion de la grande braderie annuelle de cette ville.




Jeudi 25 septembre
Réunion publique de Lutte Ouvrière à Argenteuil
20 heures 15, espace Mandéla
82 avenue Leclerc
Quartier du Val-Notre-Dame
« La situation politique et sociale et la politique des communistes face à l’offensive du patronat et du gouvernement »
Une introduction suivie d’un moment de libre débat
-fin 22 heures 15 maximum-



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