Au sommet africain de Washington, Obama
et les chefs d’État africains invités ont bien sûr discuté des ravages du virus
Ebola. Mais pour l’essentiel, ils y parlent affaires. Et pour l’occasion, Obama
est entouré des représentants des grands groupes américains tels General
Electric, Morgan Stanley, Walmart, Chevron, qui n’ont qu’une envie :
signer de juteux contrats en Afrique.
Ces groupes et le gouvernement qui les sert, comme leurs homologues français d’ailleurs, se contrefichent que l’Afrique affamée, soumise aux exactions d’une multitude de bandes armées et de dictateurs au pouvoir, soit en plus la proie d’épidémies, dont les ravages sont d’autant plus terribles que les systèmes de santé locaux, faute de moyens, sont quasi inexistants.
Pour les grands groupes d’Amérique et d’Europe, l’Afrique est avant tout comme un immense marché à dépecer pour mieux le piller.
Ces groupes et le gouvernement qui les sert, comme leurs homologues français d’ailleurs, se contrefichent que l’Afrique affamée, soumise aux exactions d’une multitude de bandes armées et de dictateurs au pouvoir, soit en plus la proie d’épidémies, dont les ravages sont d’autant plus terribles que les systèmes de santé locaux, faute de moyens, sont quasi inexistants.
Pour les grands groupes d’Amérique et d’Europe, l’Afrique est avant tout comme un immense marché à dépecer pour mieux le piller.
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