Il aura fallu la publication
d’un livre évoquant les nombreuses agressions, le harcèlement sexuel et les
brimades dont les femmes, qui en constituent 15% des effectifs, sont victimes
dans l’armée pour qu’une enquête interne soit ouverte. Le ministre de la
Défense a dû reconnaître qu’une partie de ces faits avaient été couverts par la
hiérarchie. Il s’engage maintenant à ce qu’il n’y ait ni « barrage »
ni « couvercle » à l’avenir.
Un
scandale qui rappelle que le combat pour les droits des femmes est loin d’être
gagné et que l’armée est un des hauts lieux du machisme le plus grossier.
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