Même s’ils demandent de nouveaux efforts au gouvernement
grec, les représentants de la Troïka (Union européenne, Banque centrale
européenne et FMI) saluent les mesures de privatisation, les licenciements dans
la fonction publique, et parlent même de sortie de crise prochaine.
Mais pour les
travailleurs grecs, c’est une misère croissante, des menaces d’expulsion des
logements qui se précisent, et un chômage qui bat des records : près de 30% de
la population active et près de 60% des jeunes.
Tout un peuple
est plongé dans l’abîme, mais les banques sont sauves… On ne saurait mieux
décrire la folie de ce système.
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