Comme de nombreuses
collectivités locales, des hôpitaux ont contracté des prêts toxiques
dont les taux d’intérêts ont explosé à partir de la crise financière de
2008. Ces prêts représentent maintenant des dettes évaluées entre 1,5 et
1,7 milliard pour le secteur hospitalier. La Fédération hospitalière
encourage les hôpitaux à les contester devant la justice.
Même si ces prêts étaient annulés par les tribunaux, les banques, qui ont réalisé des milliards de profits en les plaçant, ne craindraient pas grand-chose. En effet, l’Etat garantit la plupart de ces prêts.
Cela signifie qu’au final, les ravages de la spéculation sont payés par la population, sous forme de dégradation des services de santé tandis que les impôts atterrissent dans les coffres-forts des banques.
Pas besoin d’être docteur pour savoir que le capitalisme est malade !
Même si ces prêts étaient annulés par les tribunaux, les banques, qui ont réalisé des milliards de profits en les plaçant, ne craindraient pas grand-chose. En effet, l’Etat garantit la plupart de ces prêts.
Cela signifie qu’au final, les ravages de la spéculation sont payés par la population, sous forme de dégradation des services de santé tandis que les impôts atterrissent dans les coffres-forts des banques.
Pas besoin d’être docteur pour savoir que le capitalisme est malade !
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