A
propos de la visite du ministre de l’Education nationale à Marseille, le
journal Le Parisien titre : « Peillon veut rassurer les profs de ZEP »,
rapportant ses paroles : « Les efforts doivent porter là où il y en a
le plus besoin ».
Belle idée, mais sur le terrain, on en
est bien loin.
Et pour cela, pas la peine d’aller si
loin.
Au lycée Georges Braque d’Argenteuil, un
lycée classé ZEP où il y aurait tellement besoin de moyens supplémentaire, la
dégradation vient de franchir une nouvelle étape : 32 élèves dans les
classes de seconde.
Face au pipeau du ministre, faire gronder
le tambour de la révolte.
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