Dernier épisode de la "guerre des chefs" à l'UMP, son secrétaire
général Copé vient dannoncer qu'il accédait à un desidera de ses
opposants à l'intérieur de son parti, celui d'avoir la possibilité, si
extraordinaire semble-t-il à l'UMP, d'ouvrir un débat sur le bilan du
quinquennat Sarkozy. Quelle avancée ! Cela aidera peut-être à ce que l'on
parle d'eux au coeur de l'été, mais pour le reste, la belle affaire.
Si entre Copé, Fillon, et consort, chacun joue aujourd'hui une partition particulière à l'égard des années Sarkozy et de celui-ci, ils ont tous, quelle que soit la place qu'ils occupaient alors, joué durant cinq ans, sans état d'âme, la petite musique que dirigeait le chef d'orchestre de l'Elysée. Une musique au service de la bourgeoisie, avec à la clé un bilan désastreux pour les classes populaires qu'elles connaissent clairement, elles, puisqu'elles en ont été les victimes.
Au gouvernement, il n'y a pas pas trente six façons de gouverner. Chaque gouvernement dirige la musique avec son style propre. Mais la partition, c'est la bourgeoisie qui l'écrit. C'est elle qui donne le la. La gauche le démontre une nouvelle fois aujourd'hui. Les dirigeants de droite l'ont montré précédemment durant la dernière décennie, sous Chirac puis sous Sarkozy. Demain, les mêmes politiciens de droite qui se chamaillent aujourd'hui, de retour au gouvernement, se retrouveront ensemble ou pas, pour, à nouveau, mener la même politique.
Si entre Copé, Fillon, et consort, chacun joue aujourd'hui une partition particulière à l'égard des années Sarkozy et de celui-ci, ils ont tous, quelle que soit la place qu'ils occupaient alors, joué durant cinq ans, sans état d'âme, la petite musique que dirigeait le chef d'orchestre de l'Elysée. Une musique au service de la bourgeoisie, avec à la clé un bilan désastreux pour les classes populaires qu'elles connaissent clairement, elles, puisqu'elles en ont été les victimes.
Au gouvernement, il n'y a pas pas trente six façons de gouverner. Chaque gouvernement dirige la musique avec son style propre. Mais la partition, c'est la bourgeoisie qui l'écrit. C'est elle qui donne le la. La gauche le démontre une nouvelle fois aujourd'hui. Les dirigeants de droite l'ont montré précédemment durant la dernière décennie, sous Chirac puis sous Sarkozy. Demain, les mêmes politiciens de droite qui se chamaillent aujourd'hui, de retour au gouvernement, se retrouveront ensemble ou pas, pour, à nouveau, mener la même politique.
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