L’affaire de la MIJ, cette
structure intercommunale d’aide à la jeunesse, n’en finit pas de ne pas se
terminer.
Suite à sa restructuration, plusieurs
salariés sont toujours sur le carreau.
Le
dernier rebondissement est que les salariés qui ont été licenciés ne l’ont pas
été selon les règles, puisque cette structure relève finalement du droit public
et non du droit privé. Le licenciement n’ayant pas été fait selon les normes, c’est
à refaire.
Dès le début, lorsque les salariés
contactaient tous les candidats à l’élection présidentielle de 2012, j’ai
affirmé notre soutien et proposé notre modeste aide. J’ai écrit. J’ai
interrogé. Tout cela à la mesure de ce que des salariés d’une petite structure voulaient
–ou pas- que je fasse.
En tout cas, ce vaudeville a trop duré. Le
sort des travailleurs encore dans l’expectative doit être maintenant vite réglé
positivement pour eux. DM
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