Une
catastrophe sociale, pas une fatalité
Alors
que le nombre de chômeurs dépassent déjà les 5 millions en France, 43 000
travailleurs supplémentaires se sont inscrits à Pôle emploi en avril :
1300 par jour ! Autant de personnes qui basculent dans l’angoisse avant de
plonger dans la précarité puis, souvent, la misère. C’est aussi 5 millions
d’années de travail qui ont été perdues l’an dernier. Autant de richesses
potentielles détruites.
Le
chômage n’est pas un fléau tombé du ciel. Il résulte de l’avidité patronale.
Pour l’enrayer, il faut imposer de répartir le travail entre tous sans réduire
les salaires, en prenant sur les profits de nos exploiteurs.
Proletários
de Todoos Países, Uni-vos !
Les
travailleurs du Portugal combattent l’austérité. Dans toute l’Europe on impose
les mêmes sacrifices aux classes populaires. Cela appelle à une riposte
générale.
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