Tous ceux qui ne sont pas adeptes de l’Église catholique et romaine vont
finir par avoir la nausée devant le matraquage médiatique autour de la
désignation du nouveau pape. Il est pourtant très conforme à ses prédécesseurs :
un haut cadre de l’appareil catholique, responsable des Jésuites argentins au
moment de la dictature du général Videla entre 1976 et 1983. Durant cette
période, l’Église argentine soutenait sans réserve la junte militaire pendant
qu’elle traquait et torturait les opposants, y compris des prêtres liés aux
quartiers populaires.
François, Benoît ou les autres, c’est la continuité : depuis des siècles, le
goupillon n’est jamais très loin du sabre !
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