La ville de
Siliana est en ébullition. La population, qui constate que pas
grand-chose n’a changé depuis le renversement du dictateur Ben Ali, est
excédée par le chômage et par le nouveau gouvernement, qui maintient en
prison depuis un an et demi des manifestants.
En réponse aux manifestations de cette semaine, le gouverneur a fait donner sa police qui tire à la chevrotine et a blessé au moins 250 personnes. Ce qui ne décourage pas les gens qui se lancent à l’assaut des postes de police.
L’État tunisien, gouverné par les islamistes en alliance avec des « progressistes » depuis presque deux ans, essaye de remettre la population au pas. Mais cette dernière n’a pas dit son dernier mot et ne se résigne pas à vivre dans la pauvreté sous le joug d’une nouvelle dictature.
En réponse aux manifestations de cette semaine, le gouverneur a fait donner sa police qui tire à la chevrotine et a blessé au moins 250 personnes. Ce qui ne décourage pas les gens qui se lancent à l’assaut des postes de police.
L’État tunisien, gouverné par les islamistes en alliance avec des « progressistes » depuis presque deux ans, essaye de remettre la population au pas. Mais cette dernière n’a pas dit son dernier mot et ne se résigne pas à vivre dans la pauvreté sous le joug d’une nouvelle dictature.
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