D'un côté, la pauvreté qui ne cesse d'augmenter, mois après mois. Selon les chiffres officiels : 8,6 millions de personnes actuellement. De l'autre côté, les produits de luxe ne se sont jamais aussi bien vendus.
Salaires, indemnités, pensions, les revenus réels du monde du travail régressent, rongés par la hausse des prix qui les ronge.
On vient d'apprendre le montant de la future nouvelle hausse du prix du gaz : 2,4 % au 1er janvier, sur l'air de la ministre Batho : "vous vous en sortez bien, cela aurait pu être bien pire !".
Le mépris s'ajoutant aux coups, c'est cela qui finit par faire les révolutions.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire