Onze organisations patronales, Parisot et Medef en tête, proclament que
« l’entrepreneuriat est gravement en danger ». À la suite des « patrons
pigeons », ils exigent l’abandon complet de la taxation des plus-values sur la
cession d’actions. Elles contestent l’intention proclamée du gouvernement de
taxer le capital au même taux que les revenus du travail.
Dans
les faits, le gouvernement ne fait qu’écorner un peu les revenus du capital, et
laisse aux capitalistes largement de quoi maintenir leur train de vie.
Les impôts qui pèsent sur le capital sont bien inférieurs à ceux qu’ils payaient sous Giscard. Mais l’avidité des patrons n’a pas de bornes et la couardise du gouvernement qui recule face à des mobilisations patronales, y compris sur Internet, les encourage à exiger toujours plus.
Les impôts qui pèsent sur le capital sont bien inférieurs à ceux qu’ils payaient sous Giscard. Mais l’avidité des patrons n’a pas de bornes et la couardise du gouvernement qui recule face à des mobilisations patronales, y compris sur Internet, les encourage à exiger toujours plus.
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