Sur les mille postes recréés par le ministre Peillon, et les cent "attribués" à l'Académie de Versailles sur ce nombre, 28 reviendraient au premier degré dans le Val d'Oise... soit le même nombre de postes supprimés pour la rentrée prochaine.
Mais la situation est déjà catastrophique sans ces suppressions et donc sans ces suppressions annulées. C'est cette situation catastrophique qu'il faut résoudre.
On est bien loin de ce que le ministre écrivait hier dans sa "lettre à tous les personnels..." à propos des 1000 postes supplémentaires : "Ces emplois seront mobilisés pour améliorer l'accueil des élèves en difficulté, favoriser leur réussite, en particulier dans les écoles de l'éducation prioritaire... Ils permettront de conforter le potentiel de remplacement et de renforcer les dispositifs d'élèves en difficulté, notamment les Rased...".
Pour réaliser les objectifs affichés et résoudre heureusement l'équation, il faudra bien d'autres moyens et embauches que les dérisoires moyens annoncés.
On est bien loin de ce que le ministre écrivait hier dans sa "lettre à tous les personnels..." à propos des 1000 postes supplémentaires : "Ces emplois seront mobilisés pour améliorer l'accueil des élèves en difficulté, favoriser leur réussite, en particulier dans les écoles de l'éducation prioritaire... Ils permettront de conforter le potentiel de remplacement et de renforcer les dispositifs d'élèves en difficulté, notamment les Rased...".
Pour réaliser les objectifs affichés et résoudre heureusement l'équation, il faudra bien d'autres moyens et embauches que les dérisoires moyens annoncés.
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