« Nous déplorons que les marchés n’aient pas encore pris acte de ces énormes
efforts de réforme », s’est écrié le ministre des Finances allemand pour
défendre l’Espagne, nouvelle cible de la méfiance des « investisseurs » malgré
des plans d’austérité successifs.
Ces politiciens font mine de s’étonner de l’irrationalité des marchés, alors
qu’ils ne peuvent ignorer qu’ils sont impuissants, et de toute façon
indifférents devant la folie spéculative de ces financiers. Oui, les
travailleurs n’ont vraiment aucune raison d’accepter de payer la
crise !
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire