En
Grèce, le Parlement a voté de nouvelles mesures d’austérité : coupes dans
les retraites de la fonction publique, dans les salaires des dirigeants de
collectivités locales, fusions d’organismes publics de recherche, et bientôt
contre la santé et les retraites complémentaires.
Ces conditions sont imposées par l’Union
Européenne et le FMI pour un deuxième prêt de 130 milliards, prêt que la Grèce doit impérativement
obtenir pour rembourser, le 20 mars, 15 milliards d’euros que financiers et
banquiers européens exigent au titre de la dette passée ! Aberrant.
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