Dans ses vœux de nouvel an, il a fallu que le maire de Groslay fustige l’installation d’un campement « rom » en bordure de sa localité. Le genre de vœux plus facile à faire qu’essayer de contribuer à donner des conditions décentes aux adultes et aux enfants de cette communauté, « citoyens » de l’Union européenne, une question dont l’immense majorité des édiles se renvoient la balle.
Gros laid !
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