Face aux révélations montrant que la société PIP utilisait du silicone destiné à l’industrie pour fabriquer ses implants mammaires, la ministre de la Santé demande une enquête de la Direction générale de la Santé et de l’organisme de contrôle sanitaire. C’est la moindre des choses, alors que des complicités actives ou passives d’organismes de certification comme de fournisseurs et autres sont évidentes. De là à ce que l’enquête aboutisse...
Le moteur de ce scandale est le profit. Entre 300 000 et 400 000 femmes concernées, cela signifiait autant d’affaires à réaliser, qui méritaient le silence, voire la complicité ! Tout comme avec le médiator ou l’amiante...
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